Ep32: Métissage über alles !

http://www.lematin.ch/fr/actu/suisse/demain-nous-serons-tous-comme-miss-suisse-metis_9-256948

Citation :

Demain, nous serons tous comme Miss Suisse: métis!

Miss Suisse 2008, Whitney Toyloy, pense que son élection «prouve que les mentalités ont évolué en Suisse.» La nouvelle reine de beauté nationale incarne cette «modernité métisse» que nous annonce un essayiste. On veut le croire

Jocelyn Rochat - le 04 octobre 2008, 22h12
Le Matin Dimanche

«Je suis la preuve que les métisses peuvent gagner.» «J'incarne la Suisse multiculturelle!» Depuis qu'elle porte la couronne de reine de beauté nationale, Whitney Toyloy n'a cessé d'évoquer son ascendance. Avec des origines helvétiques côté maternel et new-yorkaises côté paternel, mais encore panaméennes par sa grand-mère et chinoises par son grand-père, l'Yverdonnoise justifie pleinement son surnom de «Miss MultiKulti».

Au terme de Miss «métisse», qui renvoie aux périodes sombres de la ségrégation raciale, la presse alémanique a donc préféré un mot plus neuf et plus glamour pour célébrer la victoire d'une tendance qui deviendra un jour majoritaire dans le pays. Voilà donc Whitney Toyloy promue symbole de l'avenir coloré qui attend l'Occident. Abusif? Non, suggère Jean-Claude Guillebaud qui a longuement réfléchi à ce futur dans «Le commencement d'un monde», un ouvrage qui vient d'arriver dans les librairies.

Une rencontre progressive
L'essayiste français y annonce la fin d'une séquence historique, celle de la stricte hégémonie occidentale. «Nous sommes en marche vers une modernité métisse. On annonce un choc des civilisations, alors même qu'il s'agit d'une rencontre progressive. On s'inquiète d'une aggravation des différences entre les peuples, quand les influences réciproques n'ont jamais été aussi fortes. En réalité, les «civilisations» se rapprochent. Ce rendez-vous est inéluctable et sans équivalent dans l'histoire humaine.»

A sa manière, militante et décomplexée, Whitney Toyloy joue un rôle symbolique dans cette métamorphose: celle d'un révélateur positif. Car, si elle n'est pas la première reine de beauté «métisse», c'est celle qui a le plus médiatisé cette qualité. A elle, donc, le rôle du Tiger Woods helvétique.

Il y a quelques années, ce champion de golf qui a, lui aussi, des origines le reliant à l'ensemble de la planète, était devenu le symbole américain de cette métamorphose planétaire. La presse anglo-saxonne avait alors expliqué qu'il incarnait, lui aussi, l'avenir. Elle avait appelé des démographes et des statisticiens pour expliquer que, d'ici à 2050, un Américain sur cinq aura une ascendance multiculturelle, et que, dans les années à venir, l'homme blanc deviendra une «minorité» en ville de Londres.

Un terrain très miné
Et en Suisse? Impossible de connaître l'importance du phénomène, même si l'hypothèse d'un métissage progressif semble «tout à fait pertinente» pour les experts que nous avons consultés. «Ici, l'analyse des «races» ou des statuts ethniques renvoie aux horreurs du nazisme. C'est un terrain très miné, prohibé depuis ces dérives», explique le démographe Michel Oris, de LaboDemo.

Gageons, pourtant, que cette perspective n'effraierait pas les Helvètes. Un simple coup d'oeil en arrière montre que, dans les années 1960, le métissage consistait à épouser un(e) Suisse allemand(e) ou un partenaire appartenant à l'autre religion chrétienne.

Les précédents métissages
Dans les années 1980, le métissage passait par une alliance avec un conjoint originaire de l'un des grands pays voisins. Il a donné naissance à une génération de «secundos», aujourd'hui très bien intégrés. Et voilà que s'amorce la troisième étape du processus, incarné par Miss Suisse 2008.

Cette ultime évolution sera-t-elle aussi réussie? «On ne peut pas affirmer que cela se passera sans conflit, mais, tout de même, ce pays est particulièrement bien placé pour mettre en avant des identités plurielles ou multiples, assure le sociologue Uli Windisch. Il n'y a jamais eu ici une identité nationale, homogène, obsessionnelle, et c'est très bien. Congénitalement, les Suisses ont une identité pluriculturelle. Ils sont plurilingues, pluriculturels, pluriconfessionnels, etc. La Suisse n'a plus qu'à développer progressivement cette prédisposition.»

Les visages de la suisse «multikulti» Des reines de beauté

Miss Suisse 2008 est métisse, comme sa 1re dauphine, Rekha Datta , qui a une ascendance indienne. Ajoutons à cette liste Miss Suisse romande 2008, l'Eurasienne Marianne de Cocatrix, Miss Suisse 2003, Bianca Sissing (mère Sud-Africiane, père suisse), Miss Suisse 2000, Mahara McKay (elle a un père maori) et Miss Suisse 1996, Mélanie Winige r (qui a du sang indien). Bref, dans le monde de la beauté et de la mode, le «MultiKulti» s'est déjà imposé.

Des businessmen à succès

Une étude d'Avenir Suisse l'a montré cette semaine: l'Helvétie importe massivement ses élites économiques; 60% des patrons des sociétés du SMI sont étrangers, et 58% des migrants qui entrent en Suisse sont universitaires. La majorité d'entre eux viennent de l'Union européenne, mais la Suisse connaît aussi des figures de patrons multiculturels comme Julian Cook, de FlyBaboo (mère indienne, père anglais) ou Michael Drieberg, de Live Music (ascendance indienne et anglaise).

Des sportifs qui gagnent

La Suisse multiculturelle s'impose aussi en sport. En témoignent la médaille aux JO de Pékin du judoka Sergei Aschwanden (mère kenyane, père uranais) et la carrière en NBA du basketteur Thabo Sefolosha (mère suissesse, père sud-africain) qui lui a valu de figurer sur les publicités de la Banque Cantonale Vaudoise. Pour compléter ce podium, ajoutons-y le footballeur et international helvétique Johan Vonlanthen (mère colombienne, père fribourgeois).

Mais nous sommes déjà métissés.
Bien que la définiton de métissage est: mélange de deux éléments distincts.

Hal/ a écrit:

Mais nous sommes déjà métissés.

Obscurantisme politiquement correct.

Vincent, quand on parle de métissage, on ne parle pas de mariages entre allemands et français. Quand on parle de différences, on ne parle pas de différences entre romands de gauche et romands de droite. Nos racines sont les mêmes que celle de nos voisins, c'est à dire des racines chrétiennes, blanches et européennes.

Les Portugais ont des racines chrétiennes communes avec nous, et pourtant ils ne s'intègrent pas aussi bien que les Italiens ou les Espagnols.

Les finlandais, espagnols et autres hongrois ne font pas partie de la race blanche puisque leurs origines sont soit de l'autre côté du Caucase, soit trop mélangées avec du sang arabe. Et pourtant, ils sont européens, non?

J'ai peut-être mélangés métissage et mélange? La seule chose qui change, c'est la taille de l'obstacle culturel à franchir pour le couple en question. D'ailleurs, je pense que l'obstacle est bien plus élevé entre des gens d'un même pays de niveau social différent qu'entre des gens de pays différents mais de niveaux sociaux équivalents. La provenance géographique ne fait pas tout.

question: les Portugais ne s'intègrent t'ils pas parceque la Suisse est pleine d'Italiens et Espagnols??
Les Suisses n'ont rien à voir dans cette non adaptation alors!

les Portugais, Espagnols et Italiens sont racistes ... et TOC!

Jules T a écrit:

question: les Portugais ne s'intègrent t'ils pas parceque la Suisse est pleine d'Italiens et Espagnols??

Je ne crois pas. La théorie de Mike est que les Portugais ne s'intègrent pas parce qu'ils ont en plus haute estime leur pays d'origine que leur pays d'accueil parce que les Suisses ont une trop mauvaise image de leur propre pays. Si c'était vrai, les Portugais s'intègreraient par exemple beaucoup mieux en France, ou aux USA.

Ca serait intéressant de faire une étude comparée de l'intégration de la diaspora portugaise en Suisse et en France

Voici un article trouvé sur Fromageplus par un auditeur qui touche plus ou moins directement le sujet abordé dans l'émission.

Merci auditeur !

Citation :

http://fromageplus.wordpress.com/2008/10/09/daniel-mermet-et-les-peuples-millenaires/

Jeudi 9 octobre 2008
Daniel Mermet et les peuples millénaires.
Posted by fromageplus

J’en ai déjà parlé sur ce blog, j’adopte souvent la stratégie du poisson-clown. Le poisson-clown a ceci de remarquable qu’il est le seul poisson à pouvoir résister au mortel poison des anémones, à condition d’entretenir régulièrement son immunité au contact d’icelles.

Parmi mes anémones préférées, il y a les radios gauchistes, qu’elles soient dites “nationales” [France Info, France Inter, France Culture,...] ou “libres” [du type Radio Campus, financées par divers ministères ou administrations locales]. À leur contact, la douce caresse des tentacules me provoque d’abord un bien-être certain, par le doux chatouillis de sa viscosité fluorescente et socialiste. Dérisoire humour de la vacuité. Ensuite, j’éprouve la satisfaction toujours croissante que, non vraiment, je ne suis pas de gauche ; et que, oui réellement, je fais bien de me souvenir tous les jours de la nocivité du Progrès pour mieux résister à son venin funeste.

Tenez, depuis peu j’écoute Daniel Mermet, le grand timonier de l’émission “Là-bas si j’y suis” dont je parlais l’autre jour. Et hier, une fois de plus, si j’ai d’abord bien rigolé, je me suis finalement effondré sous la déflagration de consternation que provoquent ce type, son discours, ses invités, son répondeur, son fan-club citoyen et vigilant, sa pacotille idéologique, et son art pervers et systématique de l’insinuation.

Je n’ai pas réécouté l’émission depuis hier [on doit pouvoir encore l'écouter sur le site web de France Inter], mais je vais me fier à mes petites notes et à ma petite mémoire. Il y avait deux ou trois points particulièrement intéressants à relever dans le baratin que son invité et lui-même déblatéraient avec l’assurance inébranlable qu’ils détenaient le Chemin, la Vérité et la Vie.

Ça causait Amérique Latine.

Daniel et son acolyte célébraient avec des vibratos dans la voix la beauté des peuples millénaires d’Amérique Latine, entre autres les Quechuas. Ah, les Quechuas, si pittoresques, si folkloriques, un vrai bonheur pour le trekker durable. Ça c’est de l’authentique, coco. Oui, il faut défendre les Quechuas, ils faut qu’ils restent Quechuas, il faut les garder d’une mondialisation uniformisatrice, les préserver du capitalisme apatride qui détruit les identités des Quechuas, les protéger des incursions de l’Homme Blanc sur leur territoire. En fait, le gros avantage des Quechuas, c’est qu’ils habitent très loin de Paris, et très loin de la Maison de la Radio. Parce que s’ils habitaient en banlieue, Daniel n’aurait pas du tout le même discours. Les “peuples millénaires” sont formidables quand ils habitent au fond des forêts, au bord d’un marécage perdu dans la savane, ou derrière une Cordillière inaccessible. Quand ils habitent en France, ou en Europe en général, d’un seul coup les “peuples millénaires” n’existent plus. Allez, au mieux ils sont centenaires, ou “issus de l’immigration” depuis deux ou trois générations ; en tout cas ils ne sont aucunement admirables, et sont priés de se fondre fissa dans le Grand Métissage Festif et dans le grand flux d’immigration transcontinentale obligatoire. “Peuple millénaire”, ha ha ha, et pourquoi pas Aryens pendant qu’on y est ?! Ou Gaulois !! Ha ha ha ha soyons sérieux. Laissons les “peuples millénaires” très loin de nous ; restons touristes les uns des autres.

Ensuite, ils ont parlé d’Evo Morales. Un homme formidable, cet Evo Morales ! Et vous savez pourquoi Daniel et son pote le trouvent formidable ? Parce que pour la première fois, les Boliviens ont un président qui leur ressemble ! Oui, vous avez bien entendu, les Boliviens ont l’admirable vertu d’avoir un chef qui leur est racialement semblable ! C’est un Indien ! Ce n’est pas un Blanc ou un Métis, non, et Daniel a bien insisté sur ce point, ce n’est pas un simili-bolivien, ni un demi-Indien, c’est un vrai de vrai de Bolivien de nom de Dieu du vrai terroir de boudiou de crévinguiou ! Avec des vrais gènes de “peuple millénaire” dedans ! Pour faire la nique au colonialisme du Capital apatride piloté par la finance New-yorkaise ! Encore une fois, il est heureux que ces braves gens habitent très loin de la Maison de la Radio ; il y a belle lurette qu’il aurait été traité de raciste ou de nazi à trop vouloir défendre la belle homogénéité raciale des “peuples millénaires”. Chez nous, c’est franchement l’inverse : moins vous ressemblez au “peuple millénaire”, plus on vous admire, et plus on vous trouve représentatif. Si vous avez la chance d’être métis, on voudra même vous voir à la tête du monde occidental avec impatience. En tout cas, évitez de clamer votre appartenance à un “peuple millénaire”, ça fait mauvais genre de ce côté-ci de l’Atlantique.

Vous voyez, on rigole bien avec Daniel ! Attendez, ce n’est pas fini, Daniel et son invité, impayables, ont rappelé la douloureuse épopée du Potosi, exploitation minière qui vit des milliers d’Indiens trimer et périr dans les exploitations d’argent. L’occasion de rappeler que la colonisation Blanche était d’une grande hypocrisie, “voulant soi-disant faire le bien, mais faisant le mal par inadvertance” [je cite Daniel, ironique en diable]. Je rappelle à Daniel que Rome a demandé pardon pour le sort des Indiens [non sans avoir aboli au passage des pratiques superstitieuses particulièrement gratinées], et que les socialistes [par exemple Daniel et son invité du jour] ne voyaient toujours pas en quoi leur idéologie de merde avait fait quelques centaines de millions de morts “par inadvertance”, au nom d’un Bien infiniment supérieur à Dieu et à toutes les Églises du monde. Les pays ex-soviétiques apprécieront de savoir que la main-mise de Moscou sur leurs “identités millénaires” n’avaient rien à voir avec une colonisation. Dans un enfer pavé de bonnes intentions, Daniel Mermet est le terrassier en chef, avec une belle médaille Stakhanov sur le revers du veston. Daniel Mermet, l’homme qui nous fait comprendre que le nazisme est bel et bien un socialisme avant toute autre chose, et que le camp du Progrès est maladivement obsédé par la race, l’ethnie, le métissage, les quotas, la représentativité de la couleur de peau et toutes ces conneries pleines de formulaires de recensement.

Débat intéressant sur le métissage, feat. Eric Zemmour & quelques obscurantistes.

https://www.dailymotion.com/video/x7eof3_eric-zemmour-demain-tous-metis-13_news

https://www.dailymotion.com/video/x7eo69_eric-zemmour-demain-tous-metis-23_news

https://www.dailymotion.com/video/x7eo0a_eric-zemmour-demain-tous-metis-33_news

Très intéressant!

Mike, c'est juste dommage que tu vois les autres intervenant comme des obscurantistes.

Parce qu'à mon humble avis, la discussion montre très bien combien l'approche philosophique du métissage, du mélange des cultures est assez différente des uns et des autres. Et que chaque approche est respectable. Elle est basée sur des arguments qui sont aussi valables pour les uns que pour les autres.
Je ne vois rien qui ressemble à de l'obscurantisme.
L'histoire et la culture de chacun le mène plutôt vers telle ou telle vision.

Hal/ a écrit:

Mike, c'est juste dommage que tu vois les autres intervenant comme des obscurantistes.

Pas si dommage que ça. Je vais expliquer pourquoi ci-dessous.

Citation :

Parce qu'à mon humble avis, la discussion montre très bien combien l'approche philosophique du métissage, du mélange des cultures est assez différente des uns et des autres.
Et que chaque approche est respectable. Elle est basée sur des arguments qui sont aussi valables pour les uns que pour les autres.

Justement. Lorsque les anti-zemmours sur le plateau (donc tout le monde y compris la journaliste ) revendiquent fièrement le fait que leur vision du métissage se base sur l'émotion plutôt que sur la raison, ils enlèvent eux-mêmes toute valeur théorique à leurs arguments. On a d'un côté Zemmour qui tente de réfléchir, et de l'autres des gugus qui montrent de l'émotion.

Personnellement, je trouve les arguments rationnels plus valables que les arguments émotionnels.

Citation :

Je ne vois rien qui ressemble à de l'obscurantisme.

Et le fait de nier l'existence de différentes "races" humaines (et de les appeler "types" à la place, comme c'est joli) avant d'ensuite chanter les louanges du métissage... de ces races... inexistantes ?

Si les races n'existent pas, alors le métissage non plus, juste ?

l'obscurantisme se trouve partout, je suis aussi atteint par cette maladie mais chez moi je le vois surtout dans les sectes et religions, na!

oui, les races existent ... C'EST UN FAIT, il faut faire AVEC et que cela nous plaise ou non
constater qu'il existe des tas de races ne veut pas dire qu'on est raciste mais seulement témoin de l'état de ce monde.

métisser n'est pas LA SOLUTION FINALE il ne faut pas tout mettre dans la même marmite, la soupe aurait le même gout partout. il faut savourer les différences et les tolérer.

Jules T a écrit:

constater qu'il existe des tas de races ne veut pas dire qu'on est raciste mais seulement témoin de l'état de ce monde.

Mike a écrit:

Hal/ a écrit:

Mike, c'est juste dommage que tu vois les autres intervenant comme des obscurantistes.

Pas si dommage que ça. Je vais expliquer pourquoi ci-dessous.

Citation :

Parce qu'à mon humble avis, la discussion montre très bien combien l'approche philosophique du métissage, du mélange des cultures est assez différente des uns et des autres.
Et que chaque approche est respectable. Elle est basée sur des arguments qui sont aussi valables pour les uns que pour les autres.

Justement. Lorsque les anti-zemmours sur le plateau (donc tout le monde y compris la journaliste ) revendiquent fièrement le fait que leur vision du métissage se base sur l'émotion plutôt que sur la raison, ils enlèvent eux-mêmes toute valeur théorique à leurs arguments. On a d'un côté Zemmour qui tente de réfléchir, et de l'autres des gugus qui montrent de l'émotion.

Personnellement, je trouve les arguments rationnels plus valables que les arguments émotionnels.

Citation :

Je ne vois rien qui ressemble à de l'obscurantisme.

Et le fait de nier l'existence de différentes "races" humaines (et de les appeler "types" à la place, comme c'est joli) avant d'ensuite chanter les louanges du métissage... de ces races... inexistantes ?

Si les races n'existent pas, alors le métissage non plus, juste ?

Les anti-Zemmour.....faut pas être parano ( je me répète ) ils ne sont pas anti, ils ont un autre avis.

Pour moi il est impossible de séparer rationnelle et émotionnelle quand il s'agit de sujets aussi sensibles. La difficulté est de trouver un équilibre entre les deux.

Pour moi le mot - > Race -> différence physiologique.
Un métisse est en principe quelqu'un issu de deux personnes qui ont une différence physiologique. ex. maman japonaise et papa suisse. Ou je me trompe?

Quant au métissage culturel, religieux ect. ça peut être un enrichissement, donner des impulsions à d'autre façon de cohabiter. Pourquoi faudrait-il perdre sa culture au détriment d'une autre? Pourquoi la culture des uns se se diluerait-elle dans la marmite culturelles des autres?

Il y a qu'à voir comment on tient à ses particularités quand il est question de fusion de commune dans une région bien délimitée, la mienne par ex.

Mais je suis bien d'accord pour dire que tout ça est certainement très compliqué et que je dois avoir un peu de mal à saisir toute l'ampleur du problème.

Citation :

Jules T a écrit:
constater qu'il existe des tas de races ne veut pas dire qu'on est raciste mais seulement témoin de l'état de ce monde.

aussi d'accord:)

j'ai une question qui touche le métissage, le clonage et la génétique...

Martine Aubry a t'elle hérité les gènes d'ennemi public numéro un?

Ségolène a t'elle un cerveau?

le parti socialiste Français a répondu
Il va faire un métissage Martine Aubry Ségolène à 50%
formule magique ou guéguerre?
C'est vrai qu'en France Yves Calvi a dit dans C dans l'air:
Ségolène rend fou et selon moi c'est de nouveau un problème de voix les 2 nanas ont des voix d'automate Jacquet Droz ce sont des potiches avec voix mono corde.

Il faudrait voir si il y a un ou une métisse socialiste qui pourrait sauver ce parti ... un ou une OBAMA devrait se trouver, non!

Quel désastre ......